va être mien.
dimanche 17 octobre 2010
01:10
Encore une fois et pour oblier le match, oblier le coeur, la pluie.

Je sais que je peux attendre. Je n'ai jamais quitté une chose tant importante comme ça, je sais que je vais tolérer. Encore une foi, faire tout sans arrêter, sans penser trop, sans penser pourquoi. Seulement faire et aller, aller lentement, erronées. Il y a des choses que je sais que je peux faire bien, je ne sais pas dire qui sont elles.
Mais je me sens bien de savoir que je peux écrire n'importe quoi que je veux, je peux être débile comme je vraiment suis. Est-ce que je peux utiliser moins le "je"? Ça m'énerve.
Plus forts
Je sais que jusqu'ici, et peut-être même quand je retourner au Brésil, je parlerai comme un enfant. J'utilise le présent d'indicatif, les mots plus simple et, je sais, je répète trop beaucoup de mots.
C'est un peu fatigant pour moi d'écrire un français comme ça. Quand je parle avec les autres c'est plus facile, on utilise toujours les mêmes phrases et quand on ne sais pas vraiment comment dire quelque chose, on dit de n'importe quelle façon et tout le monde peut comprend.
j'espère continuer à venir ici suivant, et plutôt n'utiliser tant le dictionnaire comme j'ai utilisé maintenant. Aujourd'hui c'est dimanche, je commence ce journal et peu importe si personne lira ça ou si lire, comprendra. Aussi, peut-être c'est mieux comme ça, ces sont mes pensées écrites et je trouve que ils ne sont pas trop heureux. Allons regarder le foot, écoute de la musique, de la musique pas triste, sortir, rire, passer le temps.
- Greenbowl, AL(umnavio)
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- Lucas Vasconcelos
- Maintenant j'habite en France et tout me manque, trop.